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En raison des prévisions météorologiques, particulièrement favorables aux voyages, et de notre disponibilité respective, mon amie Josiane et moi décidons d'en profiter pour repartir en camping-car.

Cette fois, je vais lui faire découvrir une partie de l'auvergne, mais aussi des cousines que je n'ai pas revues depuis de très nombreuses années.

Je les recherche tout d'abord le samedi 27 juin sur Internet, avant de partir.

En fin d'après-midi, nous roulons jusqu'à l'aire de repos de CHALAIS (86), située après LOUDUN, afin d'y passer la nuit et de refaire le plein d'eau, tout en bénéficiant gratuitement de l'électricité, avant de vidanger les eaux usées.

Stationnée pourtant à l'ombre, notre habitation ambulante affiche tout de même 28°, à l'intérieur.

HALTES EN LIMOUSIN

Après le déjeuner, nous reprenons la route sous une chaleur écrasante, tant est si bien que l'on s'arrête à nouveau à l'ombre : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-11-75637.html (Page 11), à LUSSAC-LES-CHATEAUX (87), une cité riche d'un long passé historique et préhistorique.

Située dans la Vienne‚ Lussac-les-châteaux est un haut lieu de la préhistoire, reconnu dans le monde entier pour ses trésors archéologiques, que nous ne prenons pas le temps d'aller voir.

A 18 H 40, on profite d'une légère baisse des températures pour rouler à nouveau jusqu'au-delà de Limoges, au bord du stade d'un village qui ne reçoit apparemment pas les chaînes numériques hertziennes.

Le lundi 29 juin, il fait de plus en plus chaud de bonne heure et on fait usage du ventilateur, pour éviter de dépasser les 30° matinaux au soleil.

On préfère circuler à nouveau avec la climatisation dans la cabine, avant de nous arrêter à EYMOUTIERS (87), pour visiter et acheter du pain : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-23-75637.html (Pages 23 à 25).

AU BORD D'UN LAC

Etant stationné en plein soleil sur le parking, on n'y déjeune pas et on préfère le faire en nous rendant au bord du lac de VASSIVIERE, un des plus grands lacs artificiels de France, qui s'étend sur près de 1.000 hectares. Il comprend six plages, trois ports de plaisance, 300 Km de chemins de randonnée et 45 Km de rivages, entre Creuse et Haute-Vienne. C'est au bord du plus grand lac du Limousin que l'on trouve une place à l'ombre, derrière un camping-car de Montreuil-Bellay.

Après avoir déjeuné, en laissant Eden, Lio et Styx à l'ombre d'un arbre :http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-6-75603.html (Page 6), nous repartons deux kilomètres plus loin, sur l'aire ombrageuse de PIERREFITE : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-11-75637.html (Pages 11 & 12), ayant une petite plage permettant de se baigner, comme Josiane le fait en arrivant.

Comme l'on se trouve bien à cet endroit, nous décidons de passer la nuit ici, face au lac.

Réveillés de bonne heure le mardi 30 juin, on en profite pour aller sur l'aire de PIERREFITTE, afin de visiter à pied l'île de VASSIVIERE : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-11-75637.html (Page 12 & 13), jusqu'au château, servant de bar et hôtel-restaurant.

On profite au maximum des espaces ombrageux car la chaleur reste caniculaire.

Comme le camping-car se retrouve à nouveau au soleil, on repart pour déjeuner un peu plus loin, dans un endroit moins exposé à la chaleur estivale.

ARRIVEE EN CORREZE

Dans l'après-midi, on arrive à BORT-LES-ORGUES (19), se trouvant à la jonction des départements du Cantal et du Puy de Dôme : http://www.bort-les-orgues.com/, pour y voir l'important barrage : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-11-75637.html (Pages 13 & 14).

Ce dernier est situé sur les communes de BORT-LES-ORGUES (Corrèze) et de LANOBRE (Cantal), où nous allons ensuite découvrir le château de Val : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-11-75637.html (Pages 14 à 16), ayant servi notamment le siècle dernier au tournage d'un film de cap et d'épée avec Jean MARAIS. 

En sortant mon chiot, au début de la nuit, je découvre les illuminations du château de Val et préviens Josiane pour lui faire partager ce magnifique spectacle, immortalisé en photos : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-16-75637.html (Pages 16 & 17).

Le mercredi 1^er juillet, des employés municipaux viennent installer un portique, pour empêcher les cars et camping-cars de stationner désormais sur le parking où l'on est installé.

On profite du départ de trois cars de la région champagne, pour revenir à BORT-LES-ORGUES, afin de faire quelques emplettes au magasin « CARREFOUR MARKET », puis déjeuner à l'ombre sur le parking de ce supermarché, avant de prendre du carburant et repartir.

EMOUVANTES RETROUVAILLES

Sans nouvelle d'une cousine auvergnate, depuis une dizaine d'années, je n'imaginais pas la revoir vivante, dans sa maison perdue en pleine montagne, au lieu-dit « Auzerette » sur la commune de TREMOUILLE, dans le Cantal, à une demi-heure environ de BORT-LES-ORGUES.

Agée de 99 ans, Justine n'a pas beaucoup changé de visage, toute comme sa gentillesse naturelle nous permettant de passer agréablement près de six heures ensemble, avec sa fille Simone, âgée de 74 ans,  qui vit désormais avec elle : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-2-75904.html (Page 2).

Il semblerait que l'on ne s'était jamais revu depuis le mois de mai 1996, l'année précédent le départ de mon ex-épouse.

Cette petite visite m'a notamment permis d'avoir des nouvelles de ses petits et arrière petits enfants, vivant toujours à CLERMONT-FERRAND (63).

Enfin, j'ai fait la connaissance d'URCA : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-7-75603.html (Page 7 & 8), une affectueuse chienne « berger allemand » à poils longs de six ans, pesant 40 kilos, soit dix fois plus qu'EDEN, avec laquelle elle a beaucoup joué.

Après le feuilleton « Plus Belle La Vie », on se quitte avec beaucoup de peine. Aurons-nous encore l'occasion de nous revoir un jour ?

AU BORD DU LAC DE LASTIOULLES (15)

A moins de dix minutes « d'Auzerette », on s'installe au bord du lac de « Lastioulles » et de sa plage de sable fin : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-17-75637.html (Page 17 & 18).

Situé près de Champs-Sur-Tarentaine, ce lac de retenue du barrage de Lastioulles a une profondeur de 24 mètres et s'étend sur une superficie de 126 ha.  On y trouve notamment une base nautique, dans un cadre protégé calme et verdoyant.

On y passe la nuit et Josiane en profite pour se baigner une nouvelle fois, pendant que je lis dans le camping-car, en gardant les chiens.

Comme le temps se couvre, on reste sur place une partie de l'après-midi, en regardant la télévision, tout en appréciant une légère baisse de la température (26°) et surtout de l'air.

VISITE DE SALERS (15)

On se trouve sur la route vers 17 H 30, avant de nous arrêter dans une pharmacie de MAURIAC, afin de prendre des médicaments pour calmer nos démangeaisons, dues aux piqûres d'insectes.

Arrivés deux heures plus tard à SALERS (15), on découvre un magnifique village auvergnat, situé à 950 mètres d'altitude, dans le Parc naturel régional des volcans.

Le charme du village vient essentiellement de ses maisons du XVIe siècle, construites à base de pierres volcaniques.

Une église, des remparts, avec une magnifique vue sur le Puy Violent et les Monts du Cantal, agrémentent également la visite, illuminée la nuit : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-19-75637.html (Pages 18 à 21).  

HALTE AU PUY MARY (15)

L'emblématique pyramide du Puy Mary (1787m) domine fièrement le volcan cantalien, plus Grand Volcan d'Europe (2 700 km²). Point culminant de la région du Cantal, le Puy-Mary se dresse devant nous, par un temps toujours ensoleillé, mais avec plus d'air et une température maximale moins élevée.

Au pied du Puy Mary, nous sommes déjà à plus de 1.500 mètres d'altitude et le fond de l'air est évidemment plus frais.

Ce site naturel le plus visité de la Région Auvergne, le  Puy Mary dévoile toute sa beauté mais également toute sa fragilité.

On en profite pour marcher un peu, avec notre chiot en laisse, et prendre quelques photos, avant de prendre le chemin du retour : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-21-75637.html (Page 21 à 23).

SUR LE CHEMIN DU RETOUR

Ce vendredi 3 juillet, nous roulons jusqu'à MASSIAC (15), où nous décidons de dormir, à la hauteur d'un pylône d'antennes-relais, surplombant la localité et l'autoroute gratuite menant à CLERMONT-FERRAND (63).

Le lendemain, sur une aire de repos de cette autoroute, j'immortalise l'accouplement d'éphémères, sur la plus grande baie vitrée du camping-car, éclairant la dînette : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-8-75603.html (Page 8).

Nous roulons jusqu'à LA CHATRE, dans la Creuse, pour y passer la nuit, au bord de la piscine intercommunale. La nuit est écourtée notamment par l'arrosage automatique qui vient asperger le coté passager du camping-car. Il me faut fermer rapidement les ouvertures, pour éviter que l'eau pénètre dans le véhicule.

Ce dimanche matin 5 juillet, Josiane en profite pour se baigner dans cette piscine, le temps que la voiture, se trouvant à l'arrière du camping-car, reparte pour nous permettre d'enlever les cales.

Nous remontons ensuite doucement vers la Vienne, en s'arrêtant plusieurs fois à l'ombre, pour nous reposer toutes les deux heures environ, car il fait un temps orageux. On apprécie d'autant plus la climatisation dans la cabine du fourgon.

En arrivant vers 18 H 15, à l'aire de repos de CHALAIS (86), située près de LOUDUN, le parking goudronné est occupé uniquement par un couple de camping-caristes d'ANGERS, avec lequel nous discutons pendant près de deux heures, avant de dîner.

Pendant la nuit, il commence un peu à pleuvoir et la température intérieure est à 19°, permettant au réfrigérateur de fonctionner à nouveau normalement sur le courant électrique.

Nous repartons seulement ce lundi 6 juillet, en fin d'après-midi, pour rendre visite à la maman de Josiane, avec laquelle on dîne à BOUILLE-LORETZ (79), avant d'arriver à la maison.

Ayant l'intention de reprendre le camping-car, pendant une ou deux semaines, en fonction du temps, pour aller en Auvergne, il me semble préférable de faire toiletter mes chiens, la veille du départ.

En début d'après-midi, je les emmène en mini-roadster au salon de toilettage douessin « CANI-COIFF », où j'effectue un reportage photographique, me permettant d'immortaliser ce rendez-vous inédit pour Eden, âgée de quatre mois seulement.

Je constate qu'elle bouge beaucoup mais n'aboie pas. A un certain moment, le toiletteur fait preuve d'autoritarisme pour se faire obéir d'Eden qui finit rapidement par se calmer; ouf !

Malgré de fréquents passages dans ce salon de toilettage, Lio continue de trembler de peur, tout en restant très sage.

Je vous laisse découvrir les différentes phases de toilettage opérées ce vendredi 26 juin 2009, sur mes deux femelles, à partir de ce lien : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-1-86589.html ou en consultant l'album intitulé « EVENEMENTS ».

La soirée de la St-Jean m'a réservé une drôle de surprise; jugez-en plutôt.

Alors que je suis au téléphone avec mon amie Josiane, ma chienne Lio se met à aboyer, comme si un intrus venait de rentrer à la maison.

Quelque peu intrigué, je quitte mon bureau pour la voir debout, devant la poubelle de la cuisine, face à une invitée inattendue.

Je fais suivre l'évènement en direct à Josiane, par le biais du téléphone.

Eden se met alors également à aboyer envers ce curieux animal qui ressemble à une fouine, un furet ou un putois, infiltré(e) par la porte d'entrée, restée ouverte à cause de la chaleur orageuse.

Je sors d'abord les chiens de la cuisine, pour offrir à mager à la bête. Au menu, je lui propose tout d'abord, des rillettes avant du boeuf cuit, mais sans succès. 

Elle inspecte les lieux et vient me sentir, ce qui me permet de la caresser furtivement.

Je l'enferme dans la pièce, pour essayer d'en savoir davantage sur cet animal, en me reconnectant sur Internet.

Tout laisse à penser qu'il s'agit d'une fouine, mammifère carnivore qui chasse notamment les souris mais apprécie aussi les fruits.

N'ayant rien à lui proposer, pouvant lui convenir, je me contente de la photographier, comme vous pouvez le constater sur mon album intitulé « MES AMIES LES BETES » : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-4-75603.html.

Après avoir passé deux heures ensemble, je finis par la déloger derrière mon réfrigérateur, en utilisant du déodorant, afin de la prendre et de la remettre en liberté, dans mon jardin.

Selon son aspect physique, tout laisse à penser qu'il s'agit d'un animal domestique, ayant porté comme un harnais au bas de son cou.

Y aura t'il un autre soir, une suite à cette histoire ?

Personnellement, j'en doute car je préfère maintenant fermer ma porte d'entrée.

A l'invitation de mon fils Yannis, comédien dans la région rennaise, je me rends le 20 juin 2009 en camping-car à Bourgbarré, avec mon amie Josiane et les trois chiens.

Après le ravitaillement en eau et la vidange des eaux usées au Lion d'Angers, nous repartons en Bretagne, en nous arrêtant à JANZE, en vue d'assister à la fête de la musique. Hélas, on ne s'est sans doute pas arrêté au bon endroit, car on ne rencontre qu'un DJ bien isolé dans une rue devenue piétonnière, l'instant de la soirée.

Comme il fait du vent, la température a brusquement diminué et on préfère repartir.

Après une nuit passée sur le parking habituel, situé à proximité du pavillon des enfants, Aliyah et Shaan nous rendent visite le dimanche matin, en compagnie de Jacqueline, leur grand-mère paternelle qui est également mon ex-épouse.

Comme Josiane est partie à la boulangerie, nous allons tous les quatre chez Delphine et Yannis où mon amie nous rejoint, après que l'on ait fait un bref passage au plan d'eau : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-8-75637.html.

En début d'après-midi, on se promène tous ensemble à pied, autour du plan d'eau : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-1-75904.html et on assiste même à des épreuves hippiques, au haras situé à proximité.

Plus tard, Yannis laisse Aliyah et Shaan chez des amis, pour permettre à Jacqueline de nous emmener avec Danaé et lui à son lieu de travail, qui accueillera à l'avenir l'école STEINER.

Voilà donc une journée dominicale inédite et particulièrement bien remplie, immortalisée en photographies, sous un soleil et une température estivale dans des cadres champêtres verdoyants. Vous pouvez découvrir quelques unes des photos dans mes divers albums.

Le lendemain matin, le beau temps chaud et ensoleillé nous incite à refaire le tour du plan d'eau. Ayant soif, Eden s'avance trop près du lac et fait son premier plongeon dans l'eau, en se retrouvant parmi les nénuphars, avant de retrouver la berge :http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-3-75603.html.

Le midi, on décide de repartir avant de déjeuner à l'ombre, sur une aire de repos où nous passons quelques heures. En fin d'après-midi, on regarde les anciens épisodes de notre feuilleton préféré « PLUS BELLE LA VIE », sur le parking du restaurant de « La Croix Cadeau » à Avrillé : http://www.e-monsite.com/manager/modules?p=album&cat=75637 où l'on dîne ensuite en plein air , avant de passer la nuit sur place.

Le mardi matin, nous faisons contrôler le réfrégirateur à « CARAVANING CENTRAL », avant de rentrer à Doué-La-Fontaine, en attendant le retour du soleil, pour découvrir l'Auvergne, en camping-car.

Comme vous pouvez le lire sur le forum de ce blog, une lectrice du Mesnil- St- Denis, un village dans les Yvelines entre Versailles et Rambouillet, m’a laissé un message.

Comme elle devait adopter un des frères d’Eden, je me suis permis de lui demander des nouvelles et je m’empresse de vous communiquer sa réponse :

Pierrette HOYAUX : « Depuis samedi matin Eddy est dans sa nouvelle maison et il s'adapte déjà très bien. Je l’avais vu, il y a presqu'un mois, et j'avais déjà craqué pour lui.

A la mort d’Oscar, mon épagneul,  je l’ai immédiatement réservé, en appelant l’éleveur saumurois, qui fait des expositions/ventes dans diverses animaleries.

Eddy est très mignon et très affectueux.

La seule surprise que j'ai eu, c'est que l'éleveur l'avait toiletté et cela lui a retiré son côté « bébé ». Mais les poils vont repousser et moi je lui garderai un côté plus rustique.

Il dort maintenant toutes ses nuits et a bien compris qu'il doit rester dans son panier.

Il commence déjà à être la coqueluche de tous mes voisins, lorsque nous nous promenons.

Il a l'air de bien assimiler la propreté. Juste un petit souci, pour l'habituer à rester un peu seul, il pleure les cinq  premières minutes. Mais sur les conseils de ma vétérinaire, je dois partir de la maison trente minutes par jour pour bien lui apprendre.

Il a l'air d'avoir l'esprit vif. C'est vraiment un amour de petit chien qui a tout de suite sympathisé avec mes petits-enfants et avec le chat de ma fille. »

Il me reste à souhaiter longue vie à Eddy, l'un des six frères jumeaux d’Eden, qui devrait être heureux auprès de sa gentille maîtresse, qui continuera à me donner des nouvelles de son fidèle compagnon.

 Au contact d'Eden, ma femelle Coton de Tuléar rajeunit un petit peu, en s'amusant à nouveau, comme elle le faisait encore l'an dernier.

 Mon chiot caniche nain continue à mordre dans tout ce qu'elle trouve et ne perd pas une occasion pour s'amuser.

Malheureusement, mon mâle lévrier italien n'apprécie pas son comportement "joueur" et montre les dents régulièrement.

Au niveau hygiène, Eden doit être sortie tous les deux heures dans la journée et quatre heures chaque nuit. Elle commence à grogner lorsque je la prends, alors qu'elle est endormie.

Je trouve les nuits trop courtes et la situation me fatigue, tout en espérant qu'elle ne durera encore pas très longtemps.

L'avenir le dira ...

Après quelques emplettes à Super U, on prend la direction de Chinon, mais on s'arrête à nouveau à TURQUANT, pour regarder plusieurs épisodes de notre feuilleton préféré « Plus Belle La Vie ».

Dans la matinée du vendredi 8 mai, Josiane en profite pour retourner voir sa fille et ses petites filles. Alors que la mamie promène Eden avec ses petits enfants, je discute avec des campings caristes, à propos notamment des systèmes énergétiques écologiques, dont on peut disposer de nos jours.

DE TURQUANT A L'ILE BOUCHARD : EN MOINS DE 1/2 HEURE

Dans l'après-midi, on roule jusqu'à l'Ile Bouchard, en Touraine, pour faire le plein du réservoir et la fermeture du centre commercial à 18 Heures.

On cherche un endroit pour stationner le véhicule, mais en vain. Tant est si bien que nous revenons sur le parking du Super U où l'eau est gratuite.

Le lendemain, la pluie se met à tomber et l'on pense un instant être contraints de revenir à la maison.

Mais, en début d'après-midi, le soleil revient et l'on en profite pour visiter ce charmant village, dans lequel on rencontre deux personnages passionnants, à savoir un homme de 87 ans et une femme de 92 ans.

L'un nous parle du château particulièrement atypique : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-4-75637.html et l'autre des vestiges d'un prieuré : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-5-75637.html.

LE CHATEAU & LA VILLE DE SAUMUR ILLUMINES

En fin d'après-midi, on revient sur Saumur, en s'arrêtant chez des amis de Josiane jusqu'à 21 heures.

On arrive donc tardivement sur le parking du château illuminé de Saumur, que je photographie en faisant pisser le chiot, en pleine nuit : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-6-75637.html.

En fait, Eden semble maintenant propre, uniquement si je prends soin de la sortir plusieurs fois/nuit. Dans le cas contraire, elle se soulage sans prévenir et je ne sais pas comment faire pour lui faire changer son comportement.

A LA DECOUVERTE DU JARDIN DES PLANTES DE SAUMUR

Le dimanche 10 mai, le temps est couvert. Josiane invite sa copine France à venir se promener, en fin de matinée avec nos chiens, dans le jardin des plantes : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-7-75637.html.

Comme la pluie apparaît dans le milieu d'après-midi, on décide de rentrer à la maison, tout en restant dans le camping-car jusqu'à la fin du premier film télévisuel de la soirée.

Là encore, il faut surveiller en permanence notre chiot, pour éviter les mauvaises surprises. Eden n'a toujours pas le réflexe de nous avertir, en cas de besoin.

Heureusement, je dois maintenant la sortir uniquement à minuit, trois heures et à six heures. Comme il fait jour à cette heure-là, elle veut venir au lit avec moi et je mets une alèse sous elle, pour protéger les draps.

Elle reste ainsi avec moi jusqu'à huit ou neuf heures, avant que je l'emmène à nouveau dehors et lui donne des croquettes et à boire. 

Depuis son arrivée, les nuits sont courtes, surtout pour un homme qui n'est pas du tout matinal.   

Alors que nous avons emmené mon oncle octogénaire chez la maman de Josiane, à Bouillé-Loretz (79), le jour ensoleillé de la fête du travail, on décide de repartir le lendemain en camping-car. 

Après être passé dans l'après-midi à Super U, pour faire quelques emplettes et remettre du gas-oil dans le réservoir à carburant, on prend la direction de Saumur. 

Cela nous permet de prendre un café « allongé » et un dessert au Mac Do.

Après une balade avec les chiens, on décide de prendre la levée de Loire, sans nous fixer la moindre destination. En raison de l'heure du dîner, on s'arrête à TURQUANT où l'on reste jusqu'au lundi suivant, même si la journée dominicale manque cruellement de soleil.

Mais cela ne nous empêche pas de recevoir Michel, l'ami de mon ex-épouse, désirant bénéficier d'un monospace CITROEN C4 Picasso, au meilleur prix. Tout en discutant, nous prenons le café ensemble, sous l'un des abris dédié aux camping-caristes, en face l'aire de jeux pour enfants. 

Chaque nuit passée à TURQUANT, je sors le plus souvent Eden, qui devient ainsi de plus en plus propre. 

A condition de l'accompagner sur un espace vert toutes les heures (ou presque) : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-1-75603.html, elle ne fait pas de saleté depuis ce dimanche 3 mai.

Malheureusement, elle ne nous réclame pas encore de sortir lorsqu'elle a envie et il faut donc la sortir régulièrement et la surveiller, pour éviter de mauvaises surprises.

Comme Josiane doit se rendre à des rendez-vous ces mardi et mercredi, à Saumur, nous préférons coucher la veille à Doué, où nous arrivons vers 22 heures.

Dès le lendemain matin, Eden retrouve ses habitudes et parvient à nouveau à se hisser sur le lit, où elle ne reste pas longtemps car Josiane ne parvient pas à se faire respecter.

Le mercredi 22 avril, on reprend le camping-car, vers 17 heures, pour aller voir « l'Enclos des Grandes Vertenaises », un élevage de chiens de petites races, implanté à Artannes-S/Thouet, à une quinzaine de kilomètres de chez moi, dans le saumurois.

La veille, mon vétérinaire m'avait conseillé de m'y rendre, car une caniche avait eu, en février, une magnifique portée de sept chiots, dont six mâles et ... une femelle.

Conscient que Lio, Coton de Tuléar de quatorze ans, ne vivrait sans doute pas encore très longtemps, je me suis mis en tête de reprendre une autre femelle.

Née le 11 février 2009, la seule femelle de la portée, pesant déjà deux kilos, nous séduit et je me décide de l'adopter immédiatement, même si l'on doit voyager à nouveau en camping-car.

Comme c'est l'année pendant laquelle les noms de chiens commencent par la voyelle E, on finit par l'appeler Eden, en espérant que nous connaîtrons avec elle une vie paradisiaque (Jardin d'Eden), au moins en camping-car, d'autant que mon CHALLENGER est le modèle Eden 502.

Après Lio, voilà donc une nouvelle compagne qui porte aussi le nom d'une chanteuse. En effet, la chanteuse Chantal EDEN « égérie des camping-caristes », fête cette année le dixième anniversaire de sa carrière d'artiste, marqué par la sortie de son 7^ème album, intitulé « L'essentiel ».

Tout laisse donc à penser que ce joli petit caniche « abricot » appréciera la vie et les voyages à bord du camping-car, me servant de résidence secondaire.

PREMIERE DESTINATION AVEC EDEN : LA VIENNE

Après avoir parcouru une cinquantaine de kilomètres seulement, en direction de Poitiers, j'arrête mon véhicule sur l'aire de repos de CHALAIS (86) : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-1-75637.html, située juste après LOUDUN. Les emplacements goudronnés individuels, sont séparés d'une haie de chaque coté.

En plus de la vidange qui est possible, l'eau et l'électricité sont désormais gratuites. Au bord de chaque emplacement, il y a aussi un espace vert très agréable, notamment pour l'éducation d'Eden et l'hygiène de mes trois chiens. 

L'endroit est tellement agréable que nous y restons pendant quatre jours. 

Durant les premières nuits, Eden dort sur le coussin des chiens, installé sous la dînette. Elle prend tout de suite l'habitude de faire ses besoins sur les journaux, la plupart du temps.

A chaque pipi, elle nous prévient, mais je ne suis pas suffisamment rapide, pour l'emmener dehors à temps.

Toutefois, elle fait souvent le reste sur l'herbe, à la lumière de l'éclairage public et d'une torche. 

Dès les premiers jours en notre compagnie, Eden constate que mes deux autres chiens : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-2-75603.html ne sont pas très marrants, car ils ne veulent même pas jouer avec elle. 

Depuis qu'elle profite du coussin, pour se reposer en dessous de la table du camping-car, ils préfèrent garder leur distance en passant leur temps sur le lit. 

Tôt ou tard, elle finira bien par aller les rejoindre. Pour l'instant, elle est beaucoup trop petite pour sauter sur le lit, mais ne durera pas ; croyez-moi ! 

Le jeudi 23 avril, nous apprécions la cuisine raffinée du restaurant de la « Maison de Pays », à l'heure du déjeuner pris à l'ombre, en terrasse. 

Le vendredi après-midi, on s'est amusé à « la belote » et à la pétanque, avec un couple d'autocaristes des Charentes, ayant un teckel d'un an : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-2-75637.html adorant jouer avec Eden. 

Le samedi midi, nous retournons déjeuner au restaurant, où je reviens téléphoner, en soirée, car je m'inquiète à propos de ma santé physique. 

Après avoir écarté de nouveaux signes d'hypertension artérielle, le médecin consultant me rassure et, étant donné mon âge, je finis par croire qu'il s'agit peut-être tout simplement de l'andropause. 

AU RETOUR : ARRETS A TURQUANT & A SAUMUR

Le lendemain, on se décide de revenir, en passant par TURQUANT, où l'on s'arrête quelques heures, puisque c'est le marché du printemps. Cela permet à mon amie Josiane de revoir sa fille aînée et ses deux filles, qui font la connaissance d'Eden. 

En fin d'après-midi, on passe rapidement à la fête du « Chemin Vert » à Saumur, avant de rentrer à Doué, où Eden découvre mon pavillon.

EDEN DECOUVRE LE PAVILLON DE SON MAITRE

Même si le lit est plus bas, elle n'a pas le droit de se coucher sur le lit, avec les autres toutous. Elle doit donc se contenter du coussin que j'ai  ramené du camping-car, pour l'installer au pied de mon lit. 

Dans la journée, elle s'allonge près de moi, sur un coussin qui se trouve au pied de mon siège, dans le bureau où je passe de nombreuses heures à pianoter sur le clavier de mon ordinateur. 

Eden mordille tout ce qu'elle trouve sur son passage et j'ai donc intérêt à ranger mes affaires.

Comme tous les chiots, elle donne du « fil à retordre » à son maître qui essaie de l'éduquer le mieux possible. Cela dit, elle a fait beaucoup de progrès en une semaine et j'en suis conscient. Paris (comme Doué) ne s'est pas fait en un jour !

Toutes les nuits, je la sors plusieurs fois sur la pelouse, pour lui permettre de devenir propre le plus rapidement possible. 

Le mercredi 29 avril, elle parvient à se hisser tant bien que mal sur le lit, pour venir s'allonger ensuite sur ma poitrine. Quelle coquine ! 

PREMIERE SEANCE DE VACCINATION A DOUE-LA-FONTAINE : AVEC DES GEMISSEMENTS !

Dans l'après-midi, c'est la troisième séance de vaccinations, à la clinique vétérinaire de Doué-La-Fontaine, où elle n'apprécie pas la piqûre. Les vaccins l'a font ensuite dormir, en rentrant à la maison, jusqu'au lendemain matin. 

Après avoir fait d'énormes progrès en une semaine seulement, elle semble capable de pouvoir respecter mes consignes de propreté en moins d'un mois.

Qu'en sera-t-il exactement ?

Désormais à la retraite, je souhaite profiter un maximum du camping-car, lorsque la météo y est favorable.

C’est notamment le cas, au cours du week-end pascal, des 10, 11 et 12 mars, plus particulièrement ensoleillé dans l’ouest de la France. Accompagné de mon amie Josiane, je vais retrouver mes amis durtalois se trouvant à Pornic : http://journaleden.e-monsite.com/album-cat-1-75637.html. 

Le jour de pâques, ils partent en « éclaireurs » à la Pointe St-Gildas (44), où nous les rejoignons dans l’après-midi. On en profite alors pour faire une longue marche ensemble, avant de revoir André et Michelle, une cousine de Josiane, séjournant dans leur mobil home.

Le lendemain matin, nous repartons avec nos deux camping-cars, pour regarder les anciens épisodes de notre feuilleton préféré « Plus belle la vie », dans des conditions optimales, avant d’aller à St Michel-Chef Chef.

Dans l’après-midi, nous poursuivons notre chemin à St-Brévin-Les Pins (44), afin de promener nos chiens sur le sable, le long de l’océan. Le soir, nous dormons sur le parking du Centre Commercial LECLERC.

Le mardi matin, le ciel commence à se couvrir. Nous partons en solo quelques kilomètres plus loin, pour regarder une nouvelle série d’anciens épisodes de « P.B.L.V », avant de rentrer le midi à Doué, pour permettre à l’amie Josiane  de se rendre à un rendez-vous à Saumur.